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Travailler à l’étranger
Quand on envisage de partir travailler à l’étranger, mieux vaut mesurer les conséquences de cette expatriation.
Tout d’abord, ne plus travailler en France, c’est peut-être ne plus payer de cotisations aux caisses de cotisations en France, dont les caisses de retraite. De plus, verser des cotisations dans un autre pays fait que l’on relève d’un régime de sécurité social parfois moins avantageux.
Ensuite, dans quel pays les impôts sur le revenu seront-ils payés ? Cela dépend de la résidence fiscale du contribuable. Et si l’on change de pays, on devient non résident français, comment seront alors imposés les revenus conservés en France (revenus fonciers, dividendes...).
Et puis comment ramener en France les liquidités épargnées dans un autre pays ?
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Ne pas déclarer une succession à l’étranger
Un résident français a l’obligation de déclarer une succession reçue de l’étranger, même si le défunt ne résidait pas en France ou ne possédait aucun bien en France.
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Fiscalité non résident
La fiscalité d’un non-résident entraîne de l’impôt sur le revenu sur les loyers perçus en France notamment, mais exonère le non-résident d’impôt s’il détient une résidence secondaire ou un pied à terre. De la même façon, si les revenus fonciers sont imposables, les produits financiers de placements réalisés en France échappent à l’impôt sur le revenu. L’ISF n’est dû en France que passé un certain montant de patrimoine, de même des droits de succession sont à payer en France sur les immeubles français.
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Impôts en France ou à l’étranger
Où payer ses impôts quand on travaille à l’étranger, en France ou dans cet autre pays, la réponse dépendant de la notion de résidence fiscale, cet article indiquant toutes les règles pou savoir si cette résidence fiscale demeure en France ou non.
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Cotisations sociales travail à l’étranger
La protection sociale d’un français à l’étranger dépend de son activité dans cet autre pays, pays de l’union européenne ou hors UE, suivant qu’il est salarié dans un autre pays, travailleur expatrié, jeune au pair ou étudiant ou encore retraité. Dans tous les cas, les cotisations sociales à verser doivent garantir une prise en charge maladie.